Montréal, 20 juin 2025 — Une page d’histoire se tourne à l’École des entrepreneurs du Québec : le 19 juin marquait la fin du mandat d’André d’Orsonnens à la présidence de son conseil d’administration. Pendant les douze ans où il a occupé ce poste, les réalisations de l’École se sont multipliées. Elle accompagne maintenant des milliers d’entrepreneures et entrepreneurs chaque année, à l’échelle de la province. Elle a même su exporter son expertise dans une vingtaine de pays.
En 2011, l’École — alors connue sous le nom de SAJE accompagnateur d’entrepreneurs — faisait de monsieur d’Orsonnens un de ses trois premiers ambassadeurs en raison du dynamisme et de la créativité qu’il incarne dans son rôle de cofondateur, président du conseil et chef de la direction de Druide informatique, la société éditrice du logiciel Antidote. Ce fier Montréalais prenait la tête du conseil d’administration de l’organisme deux ans plus tard. Il se disait « ébahi par la diversité et la profondeur de l’expertise qu’a su développer le SAJE depuis sa fondation en 1985. »
Au service de la métropole québécoise depuis ses débuts, l’organisme allait être judicieusement renommé École des entrepreneurs de Montréal. Sous le leadership mobilisateur d’André d’Orsonnens, des efforts considérables furent investis afin de rendre l’École le plus accessible possible. On misa entre autres sur des formations à faible coût et selon un horaire flexible pour tenir compte des moyens et du temps souvent limités dont disposent les personnes se lançant en affaires.
L’École faisant envie ailleurs au Québec, son offre allait être étendue à l’ensemble de la province. Ce fut l’occasion d’un ultime changement de nom en 2018 — École des entrepreneurs du Québec — et d’un rayonnement accru qui l’a menée à exporter son savoir-faire dans 21 pays.
Aujourd’hui, l’École accompagne près de 6 000 entrepreneures et entrepreneurs annuellement, sans distinction d’âge ou de secteurs d’activité. Elle y parvient grâce à son offre d’une grande richesse. Ses diagnostics de compétences lui permettent notamment d’orienter dirigeantes et dirigeants vers les ateliers et les parcours pertinents à leurs besoins.
« Je crois fermement que le succès en entrepreneuriat n’est jamais le fait d’une seule personne. Il faut s’entourer de gens compétents pour réussir; c’est primordial. Mon aventure à l’École des entrepreneurs du Québec en est un bon exemple. Pendant toutes ces années, j’ai eu le privilège de travailler avec un directeur général hors pair en la personne de Michel Fortin. Il formera un redoutable duo avec mon successeur, Sylvain Bertrand. Ils ont toute ma confiance pour continuer à faire de l’École une institution avant-gardiste » affirme André d’Orsonnens. « À l’aube de ses 40 ans, l’École n’a pas pris une ride! »
Notes biographiques
André d’Orsonnens est cofondateur, président du conseil et chef de la direction de Druide informatique. À ce titre, il orchestre depuis 1996 la commercialisation d’Antidote, le plus grand logiciel d’aide à la rédaction de la francophonie. Il dirige également la mise en marché de Tap’Touche, le célèbre logiciel d’apprentissage de la frappe au clavier dont il a piloté l’acquisition en 2012. Ces deux applications sont utilisées par des millions de personnes dans le monde.
En plus de son engagement dans le milieu entrepreneurial, il est administrateur de la Fondation pour l’alphabétisation et gouverneur de la Fondation Paul Gérin-Lajoie. Élu PDG de l’année par ses pairs de l’Association québécoise des technologies, André d’Orsonnens a obtenu le Prix MÉRITIC Honoris Causa, faisant de lui un membre du Cercle des Grands Bâtisseurs québécois des TI.
Enfin, ses réalisations lui ont valu le Mérite du Barreau de Montréal et le prix Camille-Laurin, la plus haute distinction décernée par l’Office québécois de la langue française.
Source : École des entrepreneurs du Québec, www.eequebec.com
Renseignements : Amélie Nappert, communications@eequebec.com, 438-889-9675